REDITES-LE MOI

169 pages de St-Bleyras
REDITES-LE MOI St-Bleyras
Synopsis

Récits et visions, affleurements de l'imaginaire. "Redites-le moi" propose des lectures courtes ou plus longues, offrant une séquence de plusieurs textes écrits par un même auteur : moi-même, Saint-Bleyras.
On entre dans ces textes, on en sort, on y revient. Ou pas !

(L'illustration est l’œuvre de Lilarêve)

Publié le 11 Décembre 2023

Les statistiques du livre

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Ce livre est noté par

6 commentaires , 4 notes
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@Kal Chitel

Merci pour votre preste et enlevé commentaire qui laisse de la place pour l'imagination.
Je suis dans la lecture de votre Betterave qui, sans conteste, dépote et décoiffe, et tape juste (commentaire prochain sur votre page).

Publié le 13 Février 2024
2.4
Lu d'une traite. Beaucoup aimé.
Publié le 09 Février 2024

@ Constantin Malheur'
L'illustration est l’œuvre de ma femme, votre appréciation lui fait plaisir !

Publié le 04 Janvier 2024

@Zoé Florent
Merci et, en retour, tout de bon pour vous !
Un petit amusement : vœux sur le plat, vœux à la neige, vœux à la coque, mais jamais vœux durs ni vœux brouillés !
Bonne année !

Publié le 04 Janvier 2024
3
Bonsoir@St-Bleyras. Voici une nouvelle salve étoilée pour ces redites déjà très appréciées et constellées individuellement en leur temps. /// Je profite de ce commentaire pour vous adresser mes voeux de bonne année 2024 : nombreux lecteurs et inspiration en plus de l'habituel package ;-). Bonne soirée ! Amicalement, Michèle
Publié le 03 Janvier 2024

@Fernand Fallou
Merci pour votre commentaire à Gloria. Vous l'avez déjà lu et commenté fin 2019, ou début 2020. Je me rappelle un point de votre commentaire : une certaine déception de votre part concernant la fin du récit, la chute comme l'on dit. Je suis par ailleurs satisfait que vous ayez du mal à cerner mes "personnages indiscernables" : j'ai donc réussi sur ce point de mon texte, dans lequel on peut voir un Luke ressembler à un certain Jack, "surtout de profil".
Certains ont exprimé que Gloria les faisait penser à tel ou tel auteur. Dieu merci, il ne s'agit pas de comparaisons ! Je pense d'ailleurs que, comme auteur, l'on n'est pas forcément très conscient des influences que l'on a intégrées.
Vous me semblez, et m'avez semblé par le passé, disposer d'une certaine sensibilité pour commenter avec finesse mes textes publiés sur mBs : je vous en remercie !
Vous avez, ainsi, évoqué une fois à propos de l'un de mes recueils "les tableaux de Pieter Bruegel l'Ancien et ceux de Hieronymus Bosch" et en avez tiré des conséquences pour une façon opportune de lire mes ouvrages. Or, comme je vous l'ai dit à l'époque, je venais de me procurer deux petits livres d'art, l'un sur Bruegel l'Ancien, l'autre sur Hieronymus Bosch. Imaginez, cher Fernand Fallou, mon saisissement !
Dans imagination il y a image.

Publié le 28 Décembre 2023
3
@St-Bleyras Cher ami, J’ai lu votre premier texte. « Gloria ». Vous êtes un roi du suspens ! Bravo ! Mais 70 pages de balades autour d’un lac, dans des couloirs et des chambres, rouges, verts et autres couleurs dans des hôtels et maisons bizarres remplis de personnages indiscernables. J’ai eu beaucoup de mal à leur donner une identité, une fonction, un rôle, une mission, mais comme disait mon père, j’ai pas inventé l’avion à réaction. Je m’attendais à une fin aussi haletante que le récit. Vos commentateurs vous comparent à Kafka. Quand j’avais 20 ans, (1966), J’ai lu « la métamorphose » et si je me souviens, il fait mourir la bestiole, mort qui va libérer tout le monde, ses personnages et les lecteurs ce qui n’est pas le cas ici. (je n’ai lu que celui-là.) L’auteur, dans ses textes, est le maître avant Dieu. C'est un fait ! FF
Publié le 27 Décembre 2023

@Constantin Malheur'
Votre commentaire m'a été un vrai bonheur, Constantin.
Vous m'apprenez quelque chose sur Gloria en mettant en relief le thème de l'enfermement dans ce récit. Et je suis d'accord avec vous ! Il est vrai, aussi, que dans Exquilandis, l'enfermement est bien présent. Quand j'écris, je ne m'attache pas à percevoir le thème qui me guide. Souvent un autre fait écran, comme l'illusion (Oniriland) dans Gloria, qui m'intéresse comme occasion de suggérer à quel point les décisions qui dirigent nos vies individuelles et collectives sont sourcées et cachées dans le psychisme inconscient. "Le cœur de l'homme a des raisons que la Raison ignore." Le "cuor" de l'homme, le profond de l'homme, le cœur comme le cœur de l'arbre, pas le cœur de l'affectivité, de la sentimentalité (même si, bien entendu, ce n'est pas une alternative aussi tranchée). Mais les illusions enferment, confinent, et la Gloire elle-même ne trouve pas aisément la sortie, le retour, vers le monde banal.
Je reviens à votre commentaire... "Le style est de l'homme" a pu dire un Buffon. Je le valide pour ce qui me concerne. Mon style vient de moi, du cœur de moi. Et, le cœur de moi bat aussi dans le cœur du monde dans lequel je suis né. J'écoute l'un et l'autre. J'y tends, en tout cas, au moment d'écrire.
J'ai, par ailleurs, rencontré Franz Kafka il y a longtemps, cinquante ans environ. Je me suis alors montré très réceptif à l'état d'esprit insufflé par le Procès, puis par ceux de ses écrits que j'ai découverts par la suite, de loin en loin. Son Journal m'a, lui aussi, nettement intéressé. Je ne suis jamais revenu à lire cet auteur, lu en même temps que d'autres en ces temps désormais éloignés des années soixante-dix puis quatre-vingt.
Et vous, Constantin, de quoi êtes-vous actuellement gros ?

Publié le 15 Décembre 2023

@Agostini François-Xavier
Je vous remercie pour votre commentaire, et suis heureux que l"Hôtel des voyageurs vous ait évoqué de tels souvenirs. Je fais, moi aussi, dans la petite ville où je réside, l'expérience quotidienne de conversations amicales au bistrot, le matin pour le café. En particulier avec des chibanis originaires de la ville d'Annaba en Algérie, localité dans laquelle vous êtes vous-même né si j'en crois votre biographie.
Ce que j'écris me fait participer à l'activité imaginative de mon esprit et j'aimerais m'en rapprocher toujours plus, tel un Hermès rêveur et dévoué.
Je commence à me faire une idée de votre écrit Prophetia et Clémence, au gré des commentaires le concernant. Le moment de le lire approche.
Meilleures pensées à vous !

Publié le 12 Décembre 2023
3
Bonjour 5 Etoiles +++ Je lis rarement ce type de roman, mais j'avoue je ne suis pas déçu, il y a cette ambiance, parfois, que j'ai pu trouver chez Boris VIAN. Votre récit aurait aussi pu s'appeler "J'ai deux mots à vous dire..." Votre hôtel des Voyageurs, me rappelle dans ma petite ville le bar PMU "Les Voyageurs" oui une coïncidence où on rencontre des gens plus ou moins perdus, tous intelligents, avec qui on parle mieux que sur un réseau social, c'est d'ailleurs la meilleure façon de se rencontrer. Alors bonne lecture à tous auteurs LIBRES COMME VOUS ET MOI SUR ce site. Bien à vous.
Publié le 12 Décembre 2023