J’ai été attiré par l’irrésistible mignonnerie de la couverture… et puis il y a eu le texte. La forme d’abord, avant le fond. La force du style qui captive le lecteur, pour ne pas dire qui le capture.
L’histoire est là avec une victime qui se métamorphose en héroïne. On ne choisit pas d’être une victime mais on peut choisir de ne pas se victimiser. Et on a bien raison de prendre exemple sur les chats, qui retombent toujours sur leurs pattes et qui, dit-on, ont neuf vies ! Bravo pour cette nouvelle qui met en appétit pour en dévorer d’autres.
Publié le 18 Mai 2024