Floriane Aubin

Biographie

A l'instar des accros au shopping qui se perdent et se défoulent dans les rayons des boutiques, je suis une accro aux mots qui plonge avec plaisir entre les lignes d'un roman.
J'écris, je lis, j'écris, je lis... depuis déjà 14 ans (j'en ai 31).
Nouvelles, poèmes, contes, chansons, romans... je m'essaie à tout !

Mes autres romans, disponibles sur ce site :
-Au-delà de la brume
-Là où brillent les étoiles
-Ailes d'ange

Floriane Aubin a publié

Floriane Aubin a noté ces livres

2.4
Quel talent ! Un style d'écriture qui n'a rien à envier aux plus grands. Des descriptions parfaites, des connaissances évidentes. L'auteure maîtrise les sujets évoqués, sans doute grâce à un travail de recherche en amont. Je ne peux mettre 5 étoiles car j'aime « juger » un livre dans son intégralité, mais il en mérite amplement 4. Bonne continuation ! Page 3 : le sujet n'est pas « n'importe » qui Page 18 : « puis qu'il aimait » ? Page 22 : récoltée,, double ponctuation Page 23 : appartenir,. Double ponctuation Page 35 : Je suis heureux (que) vous avoir rencontrées. Page 40 : « ne accomode pas d'habits peu adaptés à sa taille » ? Page 42 : Nous serons « rentrées » en Europe ( Nicky et Clara) Page 43 : Le Dalaï-lama Lama (mot double) Page 51 : Ce genre de propagande ne m'a jamais intéressé(e), non ? Page 60 : « qu'elle » a quitté Page 62 : « qu'elle » espère ce moment Page 71 : « évoquent » le passé.
Publié le 16 Septembre 2016
1.8
Un synospis qui donne envie d'entrer dans la vie de ce trio. Une belle histoire d'amour, une enfance bafouée, la maladie et les conséquences, l'oubli d'un corps pour combattre la peur, des batailles perdues, d'autres gagnées, il y a tout cela dans ce roman. Il y a tout dans cette histoire pour toucher le lecteur, malheureusement, j'ai été peinée pour Charlie, mais pas véritablement touchée. Quand Charlie raconte tout à Thomas, n'ayez pas peur d'entrer dans les détails, de trouver les bons mots pour faire passer les émotions. Je trouve que cette partie est racontée trop facilement. On veut ressentir toute cette souffrance dont Charlie a été victime. Il y a beaucoup trop de virgules inutiles ; par exemple, au hasard : « Le naufrage de cette relation, me vaccina contre contre toute forme d'engagement. » Pourquoi une virgule ? Page 9 : « Je suis persuadé, que me sachant misérable aujourd'hui »... que est de trop ici. Page 19 : je l'aurais « plantée » là Page 40 : quand s'emplissaient enfin ses beaux yeux Page 85 : journaux « d'informations biaisées » ou « d'information biaisée » Page 131 : C'est donc très « stressée » que je pris le train Page 132 : m'aurait « amusée » Page 144 : Les domestiques soupçonnèrent Catherine de l'avoir « aidée ». Il y a matière à retravailler le roman pour une plongée avec les personnages encore meilleure. Bonne continuation.
Publié le 15 Septembre 2016
3
Beaucoup de plaisir à lire ce roman. J'ai passé un bon moment avec Marie et Jacques R, les chevaux qui galopent sur le rivage et les oiseaux blancs dans le ciel. J'adore votre style, la construction de vos phrases, vos mots qui s'accordent entre eux tant et si bien que la lecture de ce livre m'a été tout aussi agréable que l'écoute d'une douce musique. Je lirai avec plaisir vos autres romans. Seul bémol : revoir absolument la mise en page pour ceux qui téléchargent. Il manque des mots, les tirets des dialogues ne sont pas en face des dialogues et il y a plusieurs tailles de caractères qui nuisent à la lecture. Page 1 : « ricanements » Page 3 : « quitte » page 3 : « pleine de sable et de soleil »... la masse page 120 : « serai » Bonne continuation.
Publié le 14 Septembre 2016
3
J’ai beau ne pas être fan de « surnaturel », je me suis laissée transporter dans le quotidien de ce Arch Delavigne ; de sa solitude d’abord, de son désarroi face à ses pouvoirs ensuite, puis de l’éternelle quête entre le bien et le mal qui pourrait être la nôtre. Une écriture fluide, beaucoup d’imagination chez cet auteur qui mérite d’avoir été mis en avant. De plus, j’ai adoré les descriptions, les petits détails dispersés ici et là et qui rendent une scène vivante. Seul petit bémol : je n’ai pas été emballée par le titre. (Mais ça doit être mon côté « poète » qui parle. :-) Merci pour ce partage. Très bonne continuation pour la suite.
Publié le 12 Septembre 2016