@Sylvie de Tauriac
Bonjour,
C’est avec beaucoup de retard (à cause d’ennuis de santé) que je viens vous retrouver pour vous faire part de mes appréciations et vous donner les 5 étoiles sur votre roman « Matelot chien de sauvetage » et qui en mériterait bien plus, dont j’ai adoré le déroulement de l’histoire qui m’a profondément émue.
Quel talent d’avoir fait raconter par « Quino », cet excellent chien terre-neuve, pour se décrire lui-même avec son ressenti dans les moments forts et importants des changements qui lui sont imposés tout au long de son parcours de vie.
Je dois vous avouer que sous votre plume de grande romancière vous avez su émouvoir le lecteur. Nul doute que vous ne soyez éditée et reconnue comme une grande artiste littéraire. Pour ma part, je serais très heureuse de vous lire à nouveau. Surtout, continuez à nous faire connaître la grandeur et le côté sublime des animaux bien supérieurs à la vanité humaine qui nous entoure. Souvent je me redis les mots d’Alfred de Vigny dans « la mort du Loup ».
« Hélas ! ai-je pensé, malgré ce grand nom d’Hommes,
Que j’ai honte de nous, débiles que nous sommes !
Comment on doit quitter la vie et tous ses maux,
C’est vous qui le savez, sublimes animaux !
À voir ce que l’on fut sur terre et ce qu’on laisse
Seul le silence est grand ; tout le reste est faiblesse. »
Oui ! Je crois que tout est dit et que nous nous comprenons dans la grandeur et le côté sublime des animaux.
Bonsoir, chère Sylvie, avec mes sentiments amicaux, je me permets de vous embrasser
Alhéna.
Publié le 29 Avril 2024