Claude CARRON

Biographie

Claude CARRON est né à ROUEN en 1951. Ayant toujours ressenti une facilité à observer autant qu'à romancer cette vie qui ressemblait de plus en plus à un parcours de 4x4, il s'est tout naturellement investi dans cette voie à la quarantaine se profilant avec son lot de remises en cause.

Sorti de la primaire sans le précieux "certif" il se retrouve mûr pour l"usine à 14 ans. Docker autodidacte à 22 ans, prof de karaté à 34 et bachelier à 47, il devient auteur de romans : "Un frenchy en Australie (1991 non publié) sur le Net, 2008 " Sale temps pour les faisans" , "2009. nouvelle :Vacherie de miroir", 2011" les docks en folie" et 2013, polar rigolard "on a tué la mère Michel" publié en 2014 aux Editions Edilivre et sa suite: "Flamberge se rebiffe" un polar baroque de 355 pages.

Claude CARRON a publié

Claude CARRON a noté ces livres

3
Belle analyse de vécu. Merci d'être passé sur mon livre. CC
Publié le 18 Octobre 2014
3
56 pages de bonheur subtil fait de clins d’œil, de tendresse mâtiné d'humour. Bravo Hank. Du coup, j'ai demandé à un sage de "m'éditer" et sans doute le fera-t-il... Le singe grimace, le sage rêvasse et le sot regarde le doigt qui montre la lune ou se cache l'homme qui a vu l'homme qui a vu l'ours. J'adore ce charmant calendrier de réflexions philosophiques sous forme d'inventaire à la Prévert. Il me revient une belle citation sur les arbres de je ne sais plus qui, inscrite au début de cet excellent film plein de finesse et de poésie : "Un idiot à Paris" "On abat des arbres pour construire des asiles où l'on enferme les gens qui sont devenus fous de ne plus voir d'arbre." c'est bien de ce monde là dont il s'agit. Évadons-nous ! "Arrêtez ce monde, je veux descendre!". A bientôt Hank et encore bravo et merci pour cet agréable moment. CC
Publié le 05 Octobre 2014
3
Çà le vaut bien, comme on dirait dans les produits de beauté. Continuez.
Publié le 01 Octobre 2014
3
Très intéressant et les vrais problèmes de fond que sont la culpabilisation et le je-m’en-foutisme des systèmes dirigeants (toujours "responsables et jamais coupables) sont fort bien cernés. N'ayant pas de permis depuis 20 ans et l'ayant perdu pour de sombres raisons politiques (et oui çà arrive, un règlement de compte entre colleurs d'affiches FN qui se sont avérés être gendarmes), je suis en parfait accord avec ce qui est écrit sur ces 74 pages. Il est plus aisé et fructueux de culpabiliser les vaches à lait, plutôt que de reconnaître que les infrastructures sont inadaptées à l’extensionnalité du trafic et d'y remédier financièrement en les mettant en adéquation. Le slogan des "décideurs" : "Culpabilisez, mentez, il est restera toujours quelque chose à exploiter, psychologiquement et financièrement". CC
Publié le 10 Août 2014

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